Comment faire une newsletter réussie ?

Comment faire une newsletter attractive ? Tous nos conseils

Écrire une newsletter est parfois une épreuve pour certaines personnes : en plus de l’orthographe, il faut se pencher sur quoi écrire, à qui la faire parvenir et surtout à quel moment appuyer sur le bouton envoyer. Pas de panique, Uniteed Media arrive à votre secours. Que vous ayez déjà une chaine de newsletter en route ou que vous vouliez en lancer une, voici quelques conseils issus de l’expérience de l’équipe Uniteed Media pour rester pertinent par email !

Quand envoyer une newsletter ?

Nous vous conseillons d’envoyer votre newsletter le mardi ou jeudi. Pourquoi ? Le lundi, on passe une partie de la journée à traiter les mails/les retards dus au week-end et on place des meetings. Le mercredi, il s’agit souvent de la journée des enfants. Et le vendredi, on boucle sa semaine et on planifie la suivante…  Ce qui laisse mardi ou jeudi pour un envoi plus pertinent (à modifier selon votre secteur : si vous parlez des sorties du week-end, préférez un envoi le vendredi matin par exemple et pour un e-commerce le soir, quand les personnes sont chez-elles, avec l’envie de faire des achats). Exception bien sûr pour certains types de secteur. 

Pour l’heure, privilégiez entre 10h et 16h : le matin, on est plus productif alors on a tendance à se concentrer sur les choses qui demandent beaucoup de concentration. Trop tôt, il sera supprimé (car vos lecteurs n’auront peut-être pas le temps de lire en allant au travail) et trop tard, il sera ignoré (car c’est l’heure de partir.) Bien sûr, n’oubliez pas que du coup, la concurrence aura peut-être la même stratégie que vous alors il faudra rivaliser de pertinence pour ne pas vous retrouver dans la corbeille.

BONUS – Pour la fréquence, c’est en fonction du contenu que vous avez ! Le tout, c’est de vous tenir à votre fréquence (tous les jeudis par exemple) pour créer un rendez-vous dans l’esprit de vos lecteurs.

Quel est le meilleur outil pour créer une newsletter ?

MailChimp, Sendinblue, HubSpot, MailJet… La liste de plateforme d’emailing est longue. Pour en avoir testé plusieurs, l’outil que nous avons préféré et adopté chez Uniteed Media est Sendinblue. Créé en 2012, Sendinblue est aujourd’hui le leader sur le marché français même si elle se tire la bourre avec MailChimp et MailJet. Après le rachat de Newsletter2Go, elle est ainsi devenue la plus grosse plateforme européenne d’emailing. 

Pourquoi nous avons préféré Sendinblue ?

À l’agence, nous utilisons au quotidien Sendinblue. Comme ses concurrents, la plateforme possède un éditeur responsive, un éventail de modèles personnalisables. Le point de différence pour l’offre gratuite réside dans la fonctionnalité A/B Testing. De plus, il est possible d’importer un nombre illimité de contacts dans toutes les offres. À savoir également que la version gratuite propose l’envoi de 300 e-mail par jour. Pas mal pour tester !

Si on rentre plus en profondeur dans le sujet, les fonctionnalités de Sendinblue sont les suivantes : 

  •  Communiquer par mail, SMS mais aussi par chat sur le site
  • Segmentation des contacts
  • Campagnes mails & Automatisation
  • Statistiques
  • A/B Testing
Toutes ces fonctionnalités nous permettent d’atteindre nos objectifs efficacement grâce à une interface simple. 

 

Comment faire une newsletter attractive ?


Quel ton utilisé dans ma newsletter ?

Règle numéro 1 : garder la même façon de vous exprimer sur tous les canaux de communication que vous utilisez. Ne tutoyez pas sur Instagram pour vouvoyer par mail, ne soyez pas formels par mail et très familier sur Instagram. Il faut bien sûr s’adapter à chaque plateforme, mais il faut garder son ADN : les clients vous aiment pour VOUS.

Pour l’écriture en elle-même, c’est en fonction de l’audience : mettre des emojis dans un mail pour des institutionnels n’est peut-être pas pertinent (quoique ça dépend desquels…), mais si vous vous adressez à des locaux, foncez !


Quoi dire dans ma newsletter ?

Déjà, demandez-vous si c’est pertinent d’en faire une, si cela s’intègre dans une stratégie de communication globale ou si c’est juste vous qui « avez envie d’en faire une car c’est cool. » N’oubliez pas qu’une newsletter va vous demander des ressources de temps et d’argent (il faut l’intégrer dans une stratégie, la designer, l’écrire, la monter et l’envoyer) alors ne la faites pas pour la faire, car vous ne tiendrez pas le rythme et perdrez en crédibilité.

Si en revanche, c’est pertinent, misez sur :

  • Vos actualités (nouveau produit/service, jeu concours, promotion…)
  • Donner du contenu gratuit en plus (article de blog, podcast, photos…)
  • Faire un lien avec vos réseaux sociaux
  • Donner un rendez-vous (événement, webinaire, conférence…)

Le tout étant de donner de la valeur ajoutée au maximum. Bien-sûr ces conseils sont issus de nos propres expériences, mais il faut les adapter en fonction de votre secteur. Pour cela, après une phase de test, regardez vos statistiques. Combien de personnes ouvrent votre newsletter ? Combien vous donnent les informations que vous voulez (enquête satisfaction, sondage…) ? Est-ce qu’un emoji dans l’objet du mail vous donne plus de taux d’ouverture ? Et prenez les virages nécessaires. Rien n’est jamais mobile, avec le digital ! 

L’objet : l’élément déterminant à ne pas négliger 

Première impression que le destinataire se fait du mail reçu, l’objet est déterminant pour le taux d’ouverture de votre newsletter. C’est le premier élément que le destinataire voit dans sa boîte de réception et c’est ce qui l’incite à ouvrir ou à ignorer l’e-mail. Un objet de mail bien rédigé et accrocheur peut attirer l’attention du destinataire et le pousser à ouvrir l’e-mail. C’est pour cette raison que l’objet devrait : 

  • Donner une idée claire et précise du contenu de l’e-mail. Cela permet au destinataire de comprendre rapidement de quoi traite l’e-mail et s’il est pertinent pour lui. 
  • Éviter le classement en spam : Les filtres anti-spam analysent souvent l’objet de l’e-mail pour déterminer si celui-ci est indésirable. Un objet de mail trop vague, trop long ou contenant des termes suspects peut être considéré comme du spam et être bloqué. Il est donc important de rédiger un objet de mail pertinent et professionnel pour éviter d’être classé en spam.

  • Améliorer la délivrabilité : Certains fournisseurs de services de messagerie utilisent l’objet de l’e-mail comme critère pour déterminer si l’e-mail sera délivré dans la boîte de réception principale ou dans un dossier de spam. Un objet de mail bien rédigé peut améliorer la délivrabilité de l’e-mail et augmenter les chances qu’il atteigne la boîte de réception du destinataire